
Kinshasa,25 juillet 2025 ( TOP243NEWS ). – En réaction à un communiqué émis le 21 juillet par le Professeur Modeste Bahati Lukwebo, 2ème Vice-Président du Sénat de la République Démocratique du Congo, Monsieur Bahati Christian, président national de la Fondation Bahati Christian (FOBAC), a publié une déclaration ferme dans laquelle il rejette catégoriquement toutes les accusations portées à son encontre dont une copie nous ait parvenu à TOP243NEWS.
Dans ce communiqué de presse en réponse, Bahati Christian exprime son indignation face à ce qu’il qualifie de « propos diffamatoires », affirmant que les accusations de fraude liées à son identité ne reposent sur aucun élément de preuve tangible. Il précise qu’il est le fils de Bahati Yabanga et de Kabunga Charlotte, originaire du Sud-Kivu, et non du professeur Modeste Bahati Lukwebo, comme laissé entendre dans la précédente communication sénatoriale.
L’intéressé souligne que le nom Bahati est un nom de famille légitime qu’il porte avec fierté, hérité de son père biologique, et qu’il utilise dans tous ses documents officiels, y compris le passeport mentionné dans l’affaire. Il affirme n’avoir jamais prétendu appartenir à une autre famille ni avoir cherché à tirer avantage d’une quelconque confusion sur son identité.
« Je resterai fier d’être le fils de papa Bahati Yabanga, et à ce titre, je ne céderai à aucun chantage », déclare-t-il avec fermeté.
Plus encore, Bahati Christian indique qu’il prend ses responsabilités face à cette affaire et se dit prêt à engager des poursuites judiciaires contre quiconque tenterait de porter atteinte à sa réputation. Il conclut en affirmant son attachement aux valeurs républicaines et démocratiques, et appelle à la justice pour établir la vérité.
Cette prise de parole publique vient raviver un débat sensible sur l’usage des noms de famille et les conséquences juridiques de l’homonymie en RDC. L’opinion attend désormais de voir si des poursuites judiciaires seront réellement engagées et quelle sera la suite donnée à cette affaire à forte portée médiatique et politique.
Willyeve Diakuantinu.