
Kinshasa,3 Juin 2025(TOP243NEWS).-Le
Ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya Katembwe et son collègue de l’industrie, Louis Watum Kabamba ont co-animé un Briefing ce lundi à Kinshasa au tour du thème »Avancées, défis et perspectives du secteur industriel et des PME/PMI en République Démocratique du Congo »
Au cours de cet exercice de redevabilité le Ministre de l’Industrie de la RDC, a lancé un appel poignant à l’unité nationale dans la lutte contre la corruption. Avec une voix empreinte de gravité et de sincérité, il a déclaré : » La corruption, c’est le poison ultime, le cancer qui ronge notre société et qui anéantit tous nos efforts pour un avenir meilleur. »
Ce discours, marqué par l’émotion, souligne l’urgence de s’attaquer à ce fléau qui, selon lui, freine le développement du pays et détruit l’espoir des citoyens. La corruption, rappelle-t-il, ne se limite pas à des chiffres ou à des discours, elle s’insinue dans chaque couche de la société, érodant la confiance dans les institutions et empêchant la RDC de réaliser son potentiel.
« Si nous voulons réellement changer les choses, si nous voulons offrir à nos enfants un avenir digne, il faut éradiquer cette maladie qui gangrène notre pays « , a insisté Louis Watum, dont la voix a tremblé sous le poids de la responsabilité. »La lutte contre la corruption n’est pas seulement une obligation du gouvernement, c’est un devoir de chacun d’entre nous, une bataille pour la justice, la dignité et la renaissance de notre nation. »
Ce message, lancé lors d’un moment crucial de coordination entre les acteurs institutionnels, résonne comme un appel à l’action collective. La RDC possède un potentiel immense, mais celui-ci ne pourra s’épanouir tant que la corruption demeurera un obstacle majeur.
Au cours cet échange avec le professionnel de Médias, Porte-parole du Gouvernement Suminwa se martelé sur le pretendu chasse au swahiliphone dont quelques acteurs politique en perte de vitesse cherche à attirer l’attention de la population de l’espace Swahiliphone. Patrick Muyaya
en ce terme »être swahiliphone n’exempte pas des poursuites lorsque les choses n’ont pas été faites comme elles devraient l’être ».
Mike Pakoto.